Kitty Cat, the girl who's never saved the world

Il y a comme une odeur de doux-amer qui flotte dans l'air. C'est l'odeur des grandes vacances qui approchent.

On attendait tous le temps si doux et agréable, le parfum des jours ensoleillés où l'on a tellement de temps à dépenser qu'on ne sait qu'en faire. Mais finalement plus on s'en approche plus on est amer. On essaye de rattraper le temps perdu, de se créer des souvenirs avant de se séparer de ses proches. Autant le détestons-nous, nous ne pouvons certes pas nier que nous passons les 2/3 de notre temps au bahut!
Je trouve ça très paradoxal d'attendre si impatiemment un moment pour que finalement on se morde les doigts de pas avoir passer plus de temps avec ses amis.

Sur ce, je vous laisse méditer, mes adorables boules de poil,

Kitty C.

Je ne vous ferais pas une de ces présos interminables dont raffolent les blogueurs (allez savoir pourquoi!).

Je suis Kitty Cat,

bien sûr c'est un pseudonyme (comme si des parents étaient assez dingues pour appeler leur parents comme ça! quoique il y a bien un bébé français qui s'appelle Périphérique! L'originalité est présente partout! Mais fermons la parenthèse). Je n'ai pas pris ce pseudonyme parce que je suis une fan de Kit Kat (même si c'est très bon n'est-ce pas?) ni une accro à Hello Kitty (on dirait que je suis sponsorisée mes lous), je pense qu'au fond on est tous un petit chaton tout mignon qui ronronne et qui est vulnérable face au monde.

Et avouons-le les filles, qui n'aurait pas voulu être un petit chaton qu'on pouponne?

Bandes de menteuses! Mais c'est comme ça que je vous aime.

Good bye,

Kitty C.